Le bouquin Women de Bukowski....
Certains n'y verront qu'un improbable enchaînement de scènes de sexe crues . Bukowski tente de raconter toutes ses aventures par le menu. Même pas d'essayer d'esquisser de manière plus profonde la nature de ses relations avec la gent féminine, non non. Juste raconter.
Personnellement je doute qu'il en ait "fait" autant qu'il le prétend (dans le cas contraire, ce type est mon héros !)... à côté de lui, c'est sûr, Clooney est un dragueur de prisunic. C'est bien simple: on a l'impression qu'une femme ne peut le croiser sans avoir envie de coucher avec lui.
Evidemment la réalité se mélange à la fiction, dans une de ces tambouilles littéraires dont lui seul avait le secret. Un livre paradoxal : c'est à celui-ci que Buko doit sa réputation d'affreux macho, alors que justement, en le lisant, on comprend que c'est tout le contraire: toutes ces femmes sont meurtries et fortes à la fois, drôles, indépendantes... Bon, ok, elles sont toutes tarees, mais pas plus que Bukowski . Il n'essaie jamais, à aucun moment, de se donner le beau rôle. S'il s'est comporté comme un salaud, il l'assume totalement - et évite de tomber dans l'excès inverse en s'accablant. "Chinaski est en train de perdre ses couilles. Et il en est fier."
Bref, un roman superbe, drôle et acerbe - bukowskien en somme. Dominé par le personnage de Lydia, la femme qui louche, magnifique portraits de femme ...
Ca me rappelle l univers de Moi, Charlotte Simmons de Tom Wolfe....
Certains n'y verront qu'un improbable enchaînement de scènes de sexe crues . Bukowski tente de raconter toutes ses aventures par le menu. Même pas d'essayer d'esquisser de manière plus profonde la nature de ses relations avec la gent féminine, non non. Juste raconter.
Personnellement je doute qu'il en ait "fait" autant qu'il le prétend (dans le cas contraire, ce type est mon héros !)... à côté de lui, c'est sûr, Clooney est un dragueur de prisunic. C'est bien simple: on a l'impression qu'une femme ne peut le croiser sans avoir envie de coucher avec lui.
Evidemment la réalité se mélange à la fiction, dans une de ces tambouilles littéraires dont lui seul avait le secret. Un livre paradoxal : c'est à celui-ci que Buko doit sa réputation d'affreux macho, alors que justement, en le lisant, on comprend que c'est tout le contraire: toutes ces femmes sont meurtries et fortes à la fois, drôles, indépendantes... Bon, ok, elles sont toutes tarees, mais pas plus que Bukowski . Il n'essaie jamais, à aucun moment, de se donner le beau rôle. S'il s'est comporté comme un salaud, il l'assume totalement - et évite de tomber dans l'excès inverse en s'accablant. "Chinaski est en train de perdre ses couilles. Et il en est fier."
Bref, un roman superbe, drôle et acerbe - bukowskien en somme. Dominé par le personnage de Lydia, la femme qui louche, magnifique portraits de femme ...
Ca me rappelle l univers de Moi, Charlotte Simmons de Tom Wolfe....
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